Ma douceur, mon éphémère,
Mon amour, ma chimère ,
Tes mains sur ma peau
Et j’ai taquiné non pas l’Everest
Mais bien les sommets de l’ivresse.
Et à mon oreille tes mots
Glissés par une bouche si douce,
Que dans mon sang coule encore
Le feu enivrant de tes murmures éloquents.
Et tandis que d’extase je soupire
Avant que de m’évanouir
Dans tes bras
Qui me rattrapent encore une fois
Pour m’aimer de nouveau,
La nuit n’en finit pas
De nous offrir
Ses voiles et ses dentelles
Ses intrigues charnelles
Pour le plus beau plaisir
De nos envies sensuelles…
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